mardi 28 juillet 2009

HYDRO DES AUTRES

Il n'y a pas si longtemps encore, Hydro-Québec nous appartenait, Pas question de produire de l'électricité pour les autres, selon René Lévesque, le père de la nationalisation. On va produire pour nous, pour nos industries et nous assurer d'une réserve l'électricité à bon marché pour nos besoins.

C'est dans ce contexte que des citoyens de la Montérégie se sont objectés, après le verglas, à ce que Hydro-Québec construise des lignes à hautes tensions pour acheminer notre électricité vers les États-Unis. Ils ont mener une dure bataille, une bataille qui prenait beaucoup de courage et ils avaient bien raison! La preuve?

Récemment, Claude Béchard notre ministre des Ressources naturelles faisait l'objet d'un étonnant article de la Presse canadienne suite à l'annonce selon laquelle il se disait fier de la Rége de l'énergie américaine qui vient de donner son aval aux exportation d'hydroélectricité vers les États-Unis.

Hydro pourra maintenant doubler ses exporations vers la Nouvelle-Angleterre.

Réjouissons-nous, la porte est grande ouverte. Tellement que l'on parle maintenant de construire, chez-nous, de nouvelles centrales, spécifiquement pour produire de l'électricité pour les autres. Que le diable emporte les citoyens. On va leur passer sur le dos avec nos lignes!

Plus que jamais, pour contrecarrer cette trahison, nous aurions besoin de citoyens de la trempe de ceux qui se sont levés en Montérégie pour stopper les lignes de hautes tensions après le verglas. Dommage que la population ne les a pas supporté.

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec!

HYDRO-TOXIQUE

De tous les organismes gouvernementaux, Hydro-Québec est certainement celui qui devrait donner l'exemple. Mais pour ce faire il faudrait bien qu'elle dise la vérité sur les ampoules fluocompactes.

La vérité, selon le journaliste Charles côté, c'est que les fluocompactes contiennent du mercure, toxique pour le système nerveux, les reins et le foie.

"Quand une ampoule se brise, une partie du mercure se mélange immédiatement à l'air ambiant. Même si la quantité de mercure est faible, le bris d'une ampoule entraîne des concentrations de mercure qui excèdent largement les limites d'exposition en milieu de travail dans la première heure qui suit le bris".

Que faire, si votre fluocompacte pète au frette?

La première chose à faire est d'aérer la pièce pendant 15 minutes. Évitez surtout d'utiliser l'aspirateur, qui ne ferait que répandre la contamination. Il faut plutôt ramasser les débris avec les mains (de préférence gantées de caoutchouc) et utiliser du ruban gommé pour les plus petits morceaux.

Dans tous les cas, il faut continuer à aérer la pièce pendant plusieurs sheures.

Ça vous coupe le sifflet? Ça vous apprendra à suivres les conseils d'Hydro-Québec et à acheter des fluocompactes.

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec.

DANGEREUX POUR SANTÉ CANADA?

La Presse Canadienne vient de nous apprendre que "certains poissons des Grands Lacs sont dangereux pour la santé". En effet, "on retrouve parmi ces substances toxiques, du mercure provenant des centrales électriques au charbon et des dioxines produits par des pesticides".

"Certaines espèce de poissons retrouvées à proximité de Toronto devraient ainsi être complètement évitées".

Que fait Santé Canada? Rien, comme d'habitude!

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec.

BÉNÉVOLE MON CUL

Louise Harel, la mémère péquiste, nous annonçait une mauvaise nouvelle, récemment: son retour à la ville de Montréal, pour y mettre de l'ordre... après l'avoir complètement désorganisée.

En voilà une deuxième. Et celle là. elle n'est pas piqué des vers.

Dans un solide article du Journal de Montréal, le journaliste Mathieu Turrbide nous informe que Louise Harel vient de prendre la tête de Vision Montréal... bénévolement ma chère! Mais avec sa pleine pension de retraitée de l'Assemblée nationale en plus d'une généreuse allocation de transition selon la Ligue des contribuables du Québec.

La maudite!

Elle rit de nous autres... à nos frais!

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec.
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ABUS DE POUVOIR

Les municipalités, tout le monde le sait, sont des spécialistes des abus de pouvoir. De nos jours, ils profitent de la présence de Line Beauchamp à la tête du ministère du Développement durable pour faire encore plus d'abus. Ils sont en bonne compagnie!

Vous savez ce que je pense des abus de pouvoir?

J'ai toujours pensé que le associations pour la protection de l'environnement des lacs devaient, à la fois, aider leurs membres à défendre leur lac et les protéger contre les abus de pouvoir du ministère du Développement durable et de leurs municipalités respectives.

Cette fois-ci, c'est la municipalité de la ville de Québec qui vient de se faire pogner les culottes baissées.

En effet, après avoir adopté le Règlement de l'agglomération sur la renaturalisation des berges du lac Saint-Charles voilà qu'un certain nombre de villégiateurs ont décidé que trop c'était trop, c'était trop.

Non pas qu'ils s'opposent à la renaturalisation des rives, mais ils estiment que les délais très courts que le règlement impose aux citoyens pour effectuer des travaux de reboisement ou consentir à obtenir l'aide du programme d'aide mis en place par la Ville justifient que les effets du règlement soient suspendus.De plus l'obligation de retirer à leur frais les aménagements paysagers installés légalement ne doit pas être imposée aux résidants avant que le tribunal n'ait reconnu et sanctionné l'imposition de ce règlement.

Espérons qu'un jour, Line Beauchamp va finir par comprendre qu'elle est en train se semer la bisbille en bordure de nos lacs.

Le juge Jean Lemelin, de la Cour supérieure, accueille la demande des villégiateurs et ordonne à la Ville de Québec de suspendre l'application du Règlement jusqu'au jugement final sur la requête en nullité de ce règlement.

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec

LES MOULINS À VENT

Vous savez ce que je pense des moulins à vent, de Kyoto et des brimballes énergétiques des écolos? Pas grand chose!

Je ne pense pas grand chose non plus des politiciens ou politiciennes qui essaient de nous faire croire qu'un jour, nous allons pouvoir rouler en voiture, comme avant, mais avec un moulin à vent sur le top. Cela dit, voici, à ce sujet, un article qui a été publié dans le Financial Post du 9 avril 2009 et qui mérite d'être lu. Le titre: l'énergie éolienne, un échec total!

Le Danemark, leader mondial dans la course aux moulins à vent, avec plus de 6 000 turbines générant 19% de l'électricité du pays, n'a encore, à ce jour, fermé aucune usine alimenté par le charbon. En fait, pour compenser l'inconstance des éoliennes ou moulins à vent, il leur est nécessaire de produire 50% plus d'électricité à partir des usines au charbon, de sorte que les émissions de gaz carbonique augmentent.

L'expérience allemande est similaire. Der Spiegel rapporte que les émissions de gaz carbonique de l'Allemagne n'ont pas été réduites même d'un seul gramme, et de nouvelles usines au charbon et au gaz on dû être construites pour assurer la constance des apports en énergie.

D'ailleurs, de récentes recherches académiques montrent que l'industrie de l'énergie éolienne se solderait en fait souvent par une augmentation des émissions de gaz à effet de serre, dépendant du type d'équipement générateur d'énergie utilisé en renfort On doit aussi ajouter à la liste des dommage à l'environnement, les impacts négatifs des parcs éoliens sur la faune aviaire et toutes les autres formes de vie sauvage. Sans compte les impacts négatifs sur les animaux domestiques, la destruction de milieux humides et des paysages.

L'industrie de l'énergie éolienne n'est pas une alternative économique viables aux autres options de conservation d'énergie. Niels Gram, de la Fédération des industries du Danemark, déclare que les moulins à vent constituent une erreur. Du point de vue économique, ils ne font aucun sens. Aase Madsen, reponsable de la chaire sur les politiques énergétiques du Parlement danois, qualifie l'éolien de désastre terriblement coûteux.

L'Office de l'électricité de l'Ontario déclare que les producteurs d'énergie éoliennes seront payés plus du double de ce que les consommateurs payent présentement, même sans tenir compte des coûts additionnels d'interconnexion, de transports et de production de soutien.

Dans les débats sur les changements climatiques et sur les subventions accordées aux énergies renouvelables en particulier, il y a deux sortes de Verts. Dabord, il y a certains Verts écolos qui considèrent le problème comme tellement urgent qu'il justifie le fait de prendre immédiatement toutes les mesures qui peuvent avoir le moindre impact sur les émissions de gaz à effet de serre quels que soient leurs coût ou leur impact sur l'économie et l'emploi.

D'autre part, il y a les entrepreneurs Verts qui favorisent l'octroi massif d'argent public versé à eux-mêmes et à leurs entreprises pour des projets de production d'énergie renouvelable, peu importe leur impact relatif sur les émissions de gaz à effet de serre. Deux groupes, deux sortes de Verts, mais le point de convergence entre les deux demeure leur appui aux dépenses massives d'argent des contribuables spour subventionner la producion d'énergie renouvelable, dont les éoliennes.

J'ajoute qu'au Québec, pendant que nous faisons dans l'éolienne et la destruction de nos rivières, nos barrages sont en train de devenir des producteurs d'électricité à bon marché pour les étrangers alors que René Lévesque, le père de la nationalisation avait juré craché que nous allions garder notre électricité chez-nous, pour nos industries, pour nos besoins.

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec

DES ALGUES DANS LES PISCINES?

Eh! oui! Les algues n'épargnent pas les piscines. D'ailleurs, tout que que ça leur prend pour se manifester, dans un lac comme dans une piscine, c'est du soleil, de l'eau et des étéments nutritifs.

Une poussée d'algues peut transformer une piscine ou un lac aux eaux claires et limpides en une masse verdâtre en une seule journée.

A mesure que les algues prolifèrent elles consomment le gaz carbonique de l'eau de la piscine pour produire de l'oxygène, D'ailleurs, si nous pouvons vivre aujourd'hui c'est parce que l'on trouve suffisamment d'oxygène dans l'air que nous respirons. Et d'où vient cet oxygène? Des algues, bien sûr, qui s'occupent de l'oxygénation de notre planète depuis des milliards d'années!

Mais dans un lac, les algues sont plus qu'une nuisance. Elles sont un signe d'eutrophisation c'est-à-dire qu'elles sont un signal que le lac reçoit trop d'éléments nutritifs.

Dans une piscine on peut tuer les algues avec du chlore, en quelques heures seulement, mais dans un lac, on ne peut pas utiliser une substance toxique pour tuer les algues. C'est un peu plus compliqué.

Il faut éliminer tous les apports en éléments nutritifs.

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec.

UN BIEN GROS MENSONGE

Selon la Voix de l'Est, " la MRC de Brome-Missisquoi vient de se doter d'un outil important pour la survie de nos lacs: une pépinière.

En aménageant sa propre pépinière (une première au Québec selon le responsable de la géomatique pour le compte de la MRC), on solutionne deux problèmes auxquels la MRC fait face: l'approvisionnement d'arbustes et le bas taux de survie des jeunes pousses.

La vérité: c'est qu'en 1974, c'est le Programme des lacs et la FAPEL mettaient déjà sur pieds leur propre pépinière d'arbustes indigènes, au lac Maskinongé, à Saint-Gabriel-de-Brandon. Les arbustes étaient tous destinés à rebâtir le caractère naturel de nos lacs.

Relocalisé à Lanoraie, un peu plus tard, cette pépinière pouvait produire 1 million de plants par année, en pots de 4 pouces, qui étaient livrés directement sur les lacs. partout au Québec, gratuitement.

Ça prend du culot de la part de la MRC de Brome-Missisquoi pour nous annoncer "une première au Québec" 35 ans après la première du Programme des lacs et de la FAPEL.

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec

LE RETOUT DE LA REINE DES FUSIONS

Louise Harel entend revenir en politique. Imaginez-vous donc que celle qui a été directement responsable du dossier des fusions des municipalités avoue que sa plus importante "réussite" , la ville de Montréal, est maintenant considérée comme une métropole dysfonctionnelle.

Louise Harel entend revenir pour corriger la situation. Du front tout le tour de la tête

Que Dieu nous garde de Louise Harel.

D'aillleurs, comme ministre des Affaires municipales, elle était elle-même dysfonctionnelle. Je me souviens lui avoir déjà écrit de nombreuses lettres à titre de Directeur du Programme des lacs et n'avoir jamais reçu de réponse. Même pas un simple accusé de réception. Elle était trop occupée à saboter le ville de Montréal

Entre le niaiseux à Gérard Tremblay et la niaiseuse à Louise Harel pour la ville de Montréal, mon choix est vite fait: Tremblay.

Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec.

LE RETOUR DE L'AMIANTE

L'amiante a créé une panique à la gare centrale de Montréal, récemment. Retard dans les horaires, et tout le tralala. Il faut dire que le seul prononcé du mot amiante suffit à créer une panique. Faut-il s'en étonner? Non.

Plusieurs personnes en sont mortes et nous avons connu suffisamment de déboires économiques avec l'amiante pour créer une panique chaque fois qu'on voit le nom dans les journaux. Et c'est la même chose dans les pays Européens, surtout en France.

Dernièrement le problème s'est aggravé au Québec au point qu'on a été obligé de changer de techniques pour laver les planchers. Selon la CSST, plus question d'utiliser des brosses rotatives pour les planchers. Retour à la bonne vieille moppe.

Autrement dit, l'amiante, ce n'est pas un produit "vendable" et ce n'est pas non plus le temps d'en vendre.

Pourtant, le gouvernement du Québec s'est associé avec son lire ennemi, le gouvernement Fédéral, pour vendre une autre sorte d'amiante qui serait complètement inoffensive, selon certains experts de la République de l'Estrie.

Et dire que Jacques Parizeau a gaspiller quelques milliards de dollars à vouloir faire de l'amiante, notre fleuron économiqe, pendant que Marcel Léger nous mentait en répétant à l'Assemblée nationale qu'il allait en finir avec l'amiante dès que le Parti québéois prendrait le pouvoir. Or, le Parti québécois a pris le le pouvoir et Marcel Léger a tout simplement viré son capot de bord. Belle histoire à vous écoeurer du gouvernement !


Tony Le Sauteur

Le plus farouche défenseur de l'environnement au Québec.